J’entame cette année mon troisième bullet journal de prof. Je ne tiens désormais plus qu’un bullet professionnel. En deux ans, j’ai pu constater les nombreux avantages de cette méthode. Comme les années précédentes, je suis restée fidèle au cahier Leuchtturm 1917, mais cette année j’ai opté pour la couleur frambroise. J’ai aussi voulu aller plus loin et tout rassembler en un, c’est-à-dire ne plus avoir recours à un agenda d’enseignant en plus. J’ai aussi rajouté des choses dans la mesure où il me reste toujours des pages inutilisées à la fin. Je vous explique tout ça :
Comme je vous l’annonçais hier, je vais vous parler aujourd’hui d’une idée qui a germé petit à petit et qui concerne le bullet journal. Vous savez, pour ceux qui me suivent encore (mais non, je plaisante !), que depuis l’an dernier je me suis lancée dans le Bullet Journal. D’abord un seul, personnel, puis un deuxième centré sur ma vie professionnelle trépidante (et épuisante… oui je suis prof !). Mais ce que je ne vous avais pas dit est que le perso a sombré dans l’oubli tandis que le pro n’a cessé de progresser et m’a été d’une vraie aide organisationnelle.
Je devais vous parler de mon bullet journal de prof aujourd’hui, mais les copies m’ont rattrapée et je n’ai pas trouvé le temps de faire ce que je voulais. Cependant, je me suis octroyé une petite pause entre deux paquets de copies pour aller faire un petit tour chez Cultura. Au départ mon but était simplement de trouver le dernier « Flow » et puis… et puis… Vous savez bien, on part pour acheter un truc et on revient avec beaucoup plus. Le comble est que j’ai failli repartir sans le « Flow ».
J’ai découvert le Bullet Journal 
Depuis un mois j’ai le nez dans mon Bujo (Bullet Journal). 
Tout a commencé par un article d’Alice sur son blog 
les Livres de George
leslivresdegeorgesandetmoi.wordpress.com 